À PROPOS

Menace

La photographie, c’est aussi une discipline cinématographique…

Depuis que je me suis improvisé photographe, je suis plus sensible, réceptif et appréciateur de ce que je peux voir au cinéma et à la télévision.

Une belle lumière, un cadrage, une dynamique, des couleurs, autant de composantes que doit gérer un “directeur de la photographie”, fonction d’un professionnel ô combien important dont on voit le nom paraître que trop rapidement dans les génériques des productions audio-visuelles.

L’un des films qui m’a le plus marqué, esthétiquement parlant, est Sleepy Hollow. Tim Burton nous avait habitué à ce genre d’ambiance décalée mais le côté inquiétant, glauque, quasi-irréel atteint un degré rarement atteint à ma connaissance.

Depuis, il me plaît de retrouver ce genre d’ambiance dans mes photos et c’est d’autant plus vrai que les occasions saisies sont rares. Pour cette photo, l’ambiance, la vision du noir et blanc s’est imposée sans aucun doute possible. Je suis encore loin de la perfection que j’évoque ci-dessus mais la tentation était trop grande…

Dormez-bien cette nuit 🙂
Cédric.

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Dendropogon

C’est vrai que le regard change, et que l’on peut se surprendre à apprécier plus souvent qu’auparavant le choix d’une lumière, d’un cadrage, ou d’un angle particulier.
L’ambiance dont tu parles (et que partagent la photographie et le cinéma) donne une identité, voire une personnalité à l’image. On reconnaît en effet la "patte" de Tim Burton même sur un film qu’on n’a pas encore vu.

Mais la photo a cette spécificité de devoir prendre sens en elle-même, tandis que l’image cinématographique se pense au sein d’un montage, c’est-à -dire en fonction de sa place par rapport aux scènes précédentes et suivantes.

Le photographe doit replier le temps sur l’espace, construire une scène voire une histoire dans un unique cadre (à moins d’en passer à une série, qui pose d’autres difficultés).

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